Petite Tailleuse

«Parfois , il m'arrivait, en travaillant, d'avoir des visions. Tout à coup, j'avais l'impression de marcher sur sol mou, je respirais mal, et a peine réalisais-je que cela pouvait être la mort que je croyais voir mon enfance défiler a une vitesse folle dans ma tête, comme on le disait toujours des..» 

  J'ai choisi cette partie du roman car c'est une description très précise. On peut ressentir l'angoissement du personnage. Cette courte description génère de la tristesse en vers Luo.

La tête en l'air

       

         

On peut reconnaître 3 couvertures différents d'une même histoire. 
L'originale «Arrugas», la traduction en français «Rides» et la version la plus récent
«La tête en l'air».
C'est une BD très intéressante qui parle d'Emile, un personnage avec des crises d'Alzheimer qui est placé dans une maison de retraites.

Lorsque j'aurai 80 ans.

J'ai 80 ans. Les rides font déja partie de mon visage. J'ai véçu une vie avec des points forts et faibles. On m'a donné beaucoups d'opportunités à des nombreuses choses. Ce matin, je me suis rendu compte en me regardant dans le mirroir que tout à changé, mon corps a devenu presque inutile, à l'abscense d'énergie. Mon corps est entrains de s'eteindre lentement. Mon esprit a plein de souvenirs, j'ai eu la chance de pouvoir connaître mes petits-fils. J'en peus plus, mon corps me trahit doucement. Je vois ma vie défiler devant moi juste avant de m'astucieuse sortie.

Seuls- BD

On peut classer cette BD dans l‘environnement de la science fiction car cette histoire nous parle de 5 enfants que d‘une nuit a l‘autre ont resté seuls, entièrement seuls dans la ville ou ils vivaient avec ses chers familles. Cela laisse beaucoup d‘intrigue aux lecteurs. Ils doivent se battre contre des feroces animaux et decouvrir comment vivre dans un nouveau monde totalement hostile.

J‘aime vraiment cette types d‘histoires car c‘est a eux de trouver leur propres solutions a leurs problèmes.

 

J'ai vraiment aimé la visite de Daniel Paz. Le célèbre humoriste argentin non seulement nous a parlé de sa vie professionel sinon qu'aussi de sa vie personelle. Nous pouvons lui remercier de nous repondre toutes nos questions.

Les fils Trump, braconniers d'Afrique protégés par la loi et par papa.

Eric et Donald Junior Trump, fils du milliardaire candidat républicain à la Maison blanche, apprécient particulièrement la chasse aux grands animaux protégés. Et lui n'y voit aucun problème.

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   Les fils Trump, braconniers d'Afrique protégés par la loi et par papa.

La chasse aux grands animaux protégés est un passe-temps réservé aux super-riches, souvent Occidentaux en mal de sensations fortes. On se souvient de Walter Palmer, un dentiste du Minnesota qui avait massacré l’un des plus célèbres lions du Zimbabwe, Cecil, en juillet 2015, contre un chèque de 55 000 dollars. Comme lui, les fils du milliardaire candidat républicain à la Maison blanche, Donald Trump, braconnent en Afrique depuis de nombreuses années. Mais alors que l’action de Walter Palmer avait ému le monde entier, le passe-temps morbide d’Eric et Donald Junior Trump ne semble pas choquer outre mesure (malgré une pétition), en pleine primaire américaine. «Pas sûr que [l’information] défrise l’Américain moyen du middle west, pro armes à feu et pas vraiment concerné par ce qui se passe à l’autre bout de la planète. En fait, pas sûr que ça change quoi que ce soit dans la campagne à l’investiture républicaine aux Etats-Unis», se désole le quotidien régional Sud Ouest, qui relate samedi les «exploits» des bambins Trump : ici un léopard fraîchement abattu, là un crocodile pendu, une queue d’éléphant, un blaireau, parfois deux, et autres joyeusetés qui excitent sans doute les fans de chasse. «Mes fils aiment chasser. Ils sont membres de la NRA [la National rifle association, puissant lobby des armes à feu aux Etats-Unis, ndlr], très fièrement. Je suis un grand croyant dans le deuxième amendement», aurait récemment justifié papa Trump, comme si le droit de porter des armes à feu dans son pays autorisait le pékin à s’en servir contre des animaux dans un autre. En décembre 2015, les Etats-Unis avaient classé les lions d’Afrique et d’Inde parmi les espèces animales «en danger», notant un déclin spectaculaire de ces grands félins, dont il ne resterait que 20 000 spécimens dans le monde. Malheureusement, les riches clients de ces chasses (encadrées) très lucratives pour leurs organisateurs, sont très peu souvent poursuivis par les Etats où elles ont lieu. Comme il ne «savait pas» qu’il était en infraction, et parce qu’il disposait des «bons papiers» pour chasser Cecil, Walter Palmer n’a finalement jamais été inquiété, et peu de chance que ce soit le cas pour les fils Trump. 

Tristan Berteloot

       Cette article nous démontre la crédulité des chasseurs. "La chasse aux grands animaux protégés est un passe-temps réservé aux super-riches". D'apres moi c'est parfaitement inutile et incroyablement bête chasser avec aucun but. Je ne peut pas comprendre la satisfaction du chasseur quand il voit la pauvre créature mourir. Par rapport aux deux fis de Donald Trump, ce n'est pas possible qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent et que personne dit ou fait rien. Il sagit du braconnage, d'entrer sur des parcs nationaux et assassiner des importants animaux en danger d'extintion. C'est ilégal mais par contre, beaucoups des personnes riches le font. Ils devraient les mettre en prison, et faire de la justice.

L'environnement

Plantu évoque ici les problèmes environnementaux que traversent nos sociétés. Les gouvernements ont une grande responsabilité dans le manque de décisions qui sont prises par rapport à ce problème. Beaucoup de politiques préfèrent l’ignorer car il faudrait investir beaucoup d'argent pour le régler.

Dans ce dessin, on peut penser (à cause du chapeau) que le politicien représente les États-Unis. Cela nous montre qu’il s’agit de la nation qui pollue en comparaison des autres pays. On sait néanmoins que la Chine, et l’ensemble de l’Europe sont également parmi les plus gros pollueurs.

Wanda